André Diniz est devenu l’un des illustrateurs et créateurs de BD les plus connus au Brésil dans les dernières années. Il a déjà produit des BD de manière indépendante, mais il a aussi créé sa propre maison d’édition, la Nona Arte, où il a publié ses propres œuvres de 2000 à 2005. Après avoir fermé la Nona Arte, en 2005, il commence à publier dans diverses maisons d’édition brésiliennes, grandes et petites, et remporte divers prix nationaux.
Raconter des histoires a toujours été essentiel dans la vie d’André Diniz, et ils les raconte à travers les mots, les dessins, les deux en même temps, comme c’est le cas des BD.
Depuis 2008 il se consacre de plus en plus à l’illustration et a aujourd’hui un style propre et original, inspiré entre autres de l’art africain et de la littérature de cordel du Nordeste brésilien. Les œuvres qu’ils a illustrées chez Anacaona sont diverses, elles vont du nordeste brésilien, comme c’est le cas de L’enfant de la plantation (2013), de José Lins do Rego, de La terre de la grande soif (2014) et de Joao Miguel (2015), de Raquel de Queiroz, à la favela de Rio de Janeiro avec Le libraire de la favela (2017), de Otávio Júnior.
Dans chacune de ses illustrations on reconnaît les traits originaux de Diniz, ce syncrétisme d’art africain, littérature de cordel et bande dessinées.
Pour vous laisser savourer le travail de ce talentueux illustrateur brésilien, voici quelques belles illustrations que vous trouverez dans les œuvres qu’il a illustrées pour les Éditions Anacaona :