A la manière d’un Roland Barthes subversif, l’écrivain brésilien Arlindo Gonçalves rebondit sur toutes les occasions de pointer ce qui cristallise l’attention des Brésiliens et ce qui le touche personnellement.
Après avoir partagé ses textes sur la Biennale du Livre, l’équipe de foot Corinthians et le massacre da Sé, la journée mondiale sans voiture du 22 septembre dernier est prétexte à une chronique sarcastique sur les “dépendants à la voiture”. Une réflexion mordante sur la logique des déplacements, le statut social et l’avenir des villes au Brésil.
Crônicas do Inferno Permanente – A peleja entre o carrodependente e o desmotorizado
Relatei muitas vezes a vocês, personas, mas cabe mencionar de novo: eu não dirijo. Pra quem me conhece, isso não é nenhuma novidade. Eu simplesmente não dirijo. Detesto carros.
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